Eric Célérier sera présent demain

Ces 5 dernières années, j’ai travaillé main dans la main avec mon collègue Stéphan. Nous avons développé des tas de choses ensemble.

Il est l’une des personnes qui ont permis le développement de La Pensée de Pascal.

Voilà déjà quelque temps qu’il s’est investi au profit de Madagascar, et il va prochainement y consacrer davantage de temps.

Madagascar nous tient à cœur à lui et à moi. Nous avons séjourné ensemble quelques jours sur la Grande Île. Mais lui est particulièrement investi dans le développement de projets spirituels, éducatifs et humanitaires.

Depuis la France, il coordonne le travail d’une équipe sur place, et il collabore avec des structures implantées là-bas.

Cette vision d’agir pour Madagascar, il l’a eue avec son ami de longue date Eric Célérier.

Eric sera présent lors de la soirée que nous organisons demain. Il racontera comment et pourquoi ce projet à Madagascar est né.

Je recevrai aussi demain le bras droit de l’ambassadeur de Madagascar en France, qui soutient aussi les actions menées avec ce projet.

J’interviewerai aussi Rija, l’un des chanteurs les plus populaires de Madagascar, dont, avec mon équipe nous avions produit deux albums par le passé. Rija est le témoin que la foi en Jésus est capable de déplacer des montagnes, il en parlera demain aussi.

J’ai également recueilli les témoignages des personnes qui, sur le terrain, agissent pour faire grandir l’Evangile, l’éducation, la santé, et reculer la pauvreté. Leur action est déterminante pour transformer l’avenir de l’île.

Et bien entendu, Stéphan Piauger, mon compagnon de route, présentera ses actions et projets.

Toutes ces personnes aux profils si variés sont unies pour faire avancer un pays qui est aujourd’hui la 5ème économie la plus pauvre du monde, mais pour laquelle nous demandons un miracle.

Tu peux participer à ce miracle.

C’est pourquoi nous organisons cette soirée qui sera diffusée demain soir, à 20h30 (heure de Paris), en direct sur Youtube.

Pour visionner ce programme exceptionnel, il te faut juste t’inscrire sur le blog La Pensée de Pascal.

A demain donc,

God bless,

Pascal

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On t’attend !

Je reçois régulièrement des demandes de lecteurs : Pascal, pourrais-tu relayer telle action que nous menons, telle campagne, tel projet ?

Je les observe, et parfois, la réponse est non. Je ne peux pas relayer toutes les actions menées.

Il y en a trop, et je dois faire des choix, basés sur des projets ou des structures que je connais et en qui j’ai confiance.

Ainsi, je relaye régulièrement les actions du SEL, que je soutiens et dont je suis ambassadeur.

J’ai relayé récemment le projet d’édition d’une Bible pour les sans-abris éditée par l’Alliance Biblique Française. De nombreux lecteurs ont d’ailleurs soutenu financièrement cette action, merci à vous tous.

L’année dernière, j’avais organisé une soirée au profit d’une action en Arménie, qui avait permis de bâtir un centre d’accueil pour les enfants déplacés suite à la guerre en Artsakh.

Et ce vendredi 1er juillet, avec mon collègue Stéphan, nous mettons en place une soirée spéciale au profit de Madagascar.

La problématique de Madagascar est assez singulière.

Du fait des particularités géographiques et climatiques, des contraintes politico-culturelles, de l’héritage spirituel, Madagascar a besoin d’actions sur le long terme.

C’est la raison pour laquelle Stéphan a décidé de s’engager davantage dans sa mission au profit de Madagascar.

Vendredi, au cours de cette soirée, nous te présenterons les actions qui sont déjà en cours et qui demandent à être développées.

Nous chercherons aussi des donateurs réguliers, prêts à s’engager à participer de manière régulière, parce que la situation spécifique de Madagascar l’exige.

De nombreux invités participeront à cette soirée. Je te les présenterai dans mon message de demain.

En attendant, tu peux déjà t’inscrire pour assister gratuitement à cette soirée que j’animerai en direct sur Youtube, ce vendredi 1er juillet à 20h30 (heure de Paris).

Pour pouvoir la visionner, il te faut t’inscrire dès maintenant sur le blog La Pensée de Pascal.

On t’attend !

God bless,

Pascal

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Dissoudre le gouvernement ou le peuple ?

Dans son poème “La solution” écrit en 1953, l’auteur allemand anti-nazi Bertold Brecht avait écrit la phrase suivante : 

“Le peuple a perdu la confiance du gouvernement. Ne serait-il pas plus simple alors de dissoudre le peuple et d’en élire un autre ?”

Dissoudre le peuple et en élire un autre.

Cette phrase te fait sourire ?

Pourtant, cette idée-là a tenté de nombreux dirigeants à travers l’histoire, et elle a pris plusieurs formes :

  • les génocides et massacres de masse consistent à éradiquer tout ou partie d’un peuple, ce qui a pour effet de donner plus de poids à ceux qui sont “du bon côté de la barrière”,
  • les conquêtes territoriales ou grandes migrations, lorsqu’elles sont décidées par une élite dirigeante, consistent à diluer le peuple en place en vue d’introduire sur un lieu un autre peuple avec sa propre culture,
  • les “guerres des berceaux” encouragent les membres d’un groupe à faire plus d’enfants que les membres du groupe en place, pour progressivement changer les rapports de force démographiques.

Et parfois même, les 3 pratiques cohabitent pour accélérer davantage le processus.

Ne croyons pas naïvement que chaque individu a le pouvoir de décider de tout, tout seul.

Immanquablement, les personnes sont membres d’un groupe, d’un corps. Et lorsqu’elles agissent, se déplacent, pensent, décident, c’est un peu de ce corps qui est en action.

Dans les sociétés occidentales individualistes, nous avons tendance à survaloriser la place de l’individu, et par voie de conséquence à ignorer notre part en tant que membres d’une communauté.

Mais s’il y a bien des avantages à valoriser l’individu, il y a le risque de marcher en ordre dispersé. Et cela ne fait pas le poids face aux cultures et groupes sociaux qui, eux, donnent peut-être moins d’espace à l’individu mais survalorisent l’appartenance au groupe.

Nous sommes des individus. Christ est mort pour chacun d’entre nous.

Le choix de le suivre et de marcher avec lui se fait individuellement, et non par filiation ou appartenance à un peuple.

Pourtant, cette réalité-là ne doit pas nous faire oublier que, dans l’église comme dans nos identités ethniques ou nationales, nous sommes et agissons comme membres d’un groupe.

Se pourrait-il que tu sois un individu heureux, épanoui, et pleinement participant d’un groupe que tu contribues à tirer vers le haut ?

God bless,

Pascal

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Tiens bon !

Quand il était enfant, Rowan Atkinson était moqué par ses camarades en raison de son apparence et de ses difficultés à parler. Quand il a voulu prendre des cours de théâtre, il a été refusé, parce qu’il bégayait. Puis il a créé le personnage de Mr Bean, et il a réussi à faire rire des millions de personnes quasiment sans avoir à prononcer un mot.

Du fait qu’il soit né sans bras ni jambes, Nick Vujicic a été placé à l’adoption à sa naissance. Son handicap lui a donné des pensées suicidaires. Puis sa rencontre avec Dieu l’a amené à devenir un conférencier international, reconnu de tous. Des millions de personnes ont été au bénéfice de ses encouragements à toujours tenir bon malgré l’épreuve.

Joyce Meyer a subi de nombreux abus sexuels dans son adolescence de la part de son père. Elle a ensuite été violentée psychologiquement par son premier mari. Pourtant, elle est aujourd’hui l’auteur de 125 livres distribués à 36 millions d’exemplaires. Dans le monde entier, son expérience aide les autres à surmonter leurs épreuves.

On ne part pas tous avec les mêmes chances et les mêmes prédispositions dans la vie, c’est vrai.

On aimerait bien que la route soit toute droite, sans embûche, sans épreuve.

Et comme elle ne l’est pas, on cherche des coupables, des responsables de notre misère.

Mais la réalité, c’est que tous, absolument tous, nous avons notre lot de difficultés.

Et il nous appartient de prendre les mesures appropriées pour les surmonter.

Ceux qui y sont parvenus deviennent alors des boosters, des modèles, des personnes à prendre en exemple. Ils sont inspirants.

As-tu l’impression d’être au fond du trou ? Qu’il n’y a pas d’issue ? Que la montagne qui se dresse devant toi va t’engloutir ?

Tu ne le vois peut-être pas encore… mais ta manière de surmonter l’insurmontable qui t’effraie tant aujourd’hui, demain sera l’appui grâce auquel d’autres pourront s’en sortir.

Tiens bon ! Ils ont besoin de toi !

God bless,

Pascal

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Lui, c’est un c…

Lui, c’est un c…

J’en étais devenu convaincu.

Il m’a fait mal, injustement. Il est venu me mordre exactement là où il ne fallait pas. Je ne comprenais plus du tout ce qui était en train de m’arriver. Penser ça de quelqu’un ne me ressemblait pas. Et lui ne ressemblait plus du tout ce que je croyais connaître de lui.

Il est un frère, pourtant.

Je le connais depuis des années et ça se passait très bien jusque là. Mais, va savoir pourquoi, tel un chien sur un os, il a fait une fixation sur un détail, pas logique, pas justifié, projetant à mon endroit des soupçons sortis des profondeurs de son imagination ou de ses frustrations non résolues.

Et il n’y avait aucun moyen de lui faire entendre raison.

Nous nous sommes échangés quelques noms d’oiseau, privilège que je n’avais jusque là accordé qu’à ma grande soeur dans mon enfance.

Suis-je devenu fou ? Non, m’assurait mon entourage et les personnes auprès desquelles j’ai pris conseil. Tu n’as rien fait de mal !

Il s’acharnait à un point tel que je ne voulais plus le voir. Que je n’arrivais plus à prendre la Sainte-Cène à l’église. Que je n’avais plus envie de me retrouver dans la même pièce que lui.

Cette situation m’a amené à faire, a minima, une grosse déprime. Peut-être plus. C’était la première fois que je vivais ça avec une telle intensité.

On a fait intervenir un médiateur.

Il a encore fallu que ce soit moi qui fasse le premier pas de demander pardon pour les mots que j’avais eus. Parce que je ne voulais pas rester dans cette situation.

A moins d’une conviction spirituelle, je ne travaillerai vraisemblablement jamais avec lui : je sais qu’il peut se retourner subitement et mordre.

Mais pour l’instant, j’ai déjà été capable de le revoir, de lui serrer la main, de m’asseoir à côté de lui, de discuter avec lui, de partager un café avec lui, de plaisanter avec lui et même de prier avec lui.

Cela s’appelle le chemin de guérison. Et c’est un cadeau que Dieu m’a offert.

God bless,

Pascal

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Un charpentier danois en 1932…

Je suis fatigué par la mode.

Autant, j’aime le changement, l’innovation, la découverte, les nuances.

Autant certains domaines de la mode me semblent n’être qu’un diktat imposé par une poignée de sachant qui, selon leurs humeurs et leurs impératifs commerciaux, vont faire la pluie et le beau temps sur leur domaine d’influence.

Par bonheur, il existe encore un certain nombre de choses qui traversent la mode et les âges.

Au premier rang, bien sûr, la Bible.

La Bible n’a pas vocation à être “à la mode”. Ceux qui en détournent le sens pour coller davantage à l’ambiance sociale du moment jouent un jeu dangereux, contraints, comme le système de Madoff, de cavaler pour ne pas discréditer tout ce qui a pu être dit avant.

Mais depuis plus ou moins 2000 ans, notre version de la Bible nous est parvenue en faisant globalement fi des effets de mode.

Elle n’est pas la seule, heureusement, dans ce cas. Le monde, lui aussi, a ses objets intemporels.

Regarde par exemple les jouets Lego ! Inventés au Danemark par un charpentier en 1932, ces briques à empiler, agrémentées de personnages, continuent de tracer leur fulgurante route, jusqu’à avoir été classée en 2015 “marque la plus puissante au monde” !

Il y a eu des tas d’adaptations dans la fabrication, les sorties d’éditions limitées, l’intégration des nouvelles contraintes environnementales.

Mais malgré tout, la génération de mes enfants joue au Lego, j’ai joué au Lego, et mes parents peut-être aussi.

Maintenant, imagine-toi faire un mix entre la Bible – l’intemporelle par excellence – et les Lego ( intemporels depuis 90 ans).

Malaxe bien tout ça ensemble.

As-tu une idée de ce que ça donne ?

Eh bien regarde ici le résultat détonnant que je te présente jusqu’à ce soir, 23h59 >>

God bless,

Pascal

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Venez comme vous êtes

Je te disais hier que, dans le passé, j’avais travaillé dans l’agence de pub qui réalisait les supports d’une enseigne mondialement connue.

Il s’agissait en fait de la plus grande chaîne de restauration rapide du monde.

Il existe un milliard de raisons qui, cumulées les unes aux autres, font le succès de telles enseignes.

Mais je veux m’attarder sur l’une d’entre elles.

Sais-tu pourquoi les clients entretiennent un lien affectif si fort avec ces fast-foods ?

Tic tac tic tac…

Rendez vos copies, s’il vous plaît.

Parce que dans ces établissements, contrairement à la maison, tu peux manger directement avec les doigts.

Et quand on mange avec les doigts, on se reconnecte avec l’enfant qu’on a été, qui découvrait et s’émerveillait de tout en portant les objets, et notamment la nourriture, à la bouche avec les mains.

Chez McDo, une part de ton enfance dispose d’un espace libre pour s’exprimer.

Et c’est d’ailleurs pour cela aussi que ces enseignes visent particulièrement les enfants avec des menus contenant des jouets, et des aires de jeux dans les restaurants.

Parce que cela va créer un attachement de l’enfant à la marque et engendrer pour la vie de bons souvenirs liés à cette enseigne.

Dans un tout autre registre, j’ai découvert cela il y a quelques années, lorsque j’avais proposé une Bible tout à fait spéciale, racontée à l’aide de briques Lego.

Je pensais initialement que cette Bible était destinée aux enfants.

Résultat : elle est autant sinon davantage lue par les parents que par leurs enfants.

Pourquoi ?

Parce qu’une Bible racontée avec des Lego reconnecte les lecteurs à des souvenirs agréables de leur enfance, quand ils pouvaient inventer des histoires géniales avec les personnages, qu’ils pouvaient bâtir des maisons et laisser s’exprimer leur désir de créer.

C’est inconscient, mais ça fonctionne comme ça.

As-tu des enfants autour de toi ? Ou aimerais-tu reconnecter ta lecture de la Bible avec l’enfant que tu as été ?

Regarde ici avant demain soir, 23h59. Et plonge dans une expérience de lecture de la Bible totalement inédite >>

God bless,

Pascal

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Même s’il ne le sait pas !

Les créatifs m’émerveillent.

Plus jeune, j’ai travaillé quelque temps dans une agence de pub qui réalisait les supports promotionnels d’une très grande enseigne mondialement connue.

C’était  la première fois que je voyais des créatifs professionnels à l’œuvre. Comment à partir de presque rien, ils réalisaient des créations qui allaient ensuite être vues par des millions de personnes. Tout cela sortait de la tête et des mains du créatif qui se trouvait là, devant moi.

C’était bluffant.

Un créatif sait comment agencer les formes, les couleurs, les mots, les polices, les matières, les images, tout ce qu’il a sous la main, pour transmettre à la personne qui regarde l’idée ou l’envie qu’il veut susciter.

Même s’il ne le sait pas, et même s’il s’en défend, le créatif est un témoignage vivant de l’action de Dieu !

En réalité, un créatif part souvent de quelque chose d’existant. Une matière, une illustration, une phrase, un modèle… Et à partir de là, il laisse courir son imagination. Et on peut arriver à des résultats de dingue.

Les créatifs rendent la vie plus belle, plus originale, plus singulière. Sans eux, nous serions tous condamnés à reproduire indéfiniment les mêmes choses que des millions d’autres ont déjà fait.

Nous savions déjà que la nature est généreuse de créativité.

J’affirme aussi que la créativité est généreuse par nature.

Un créatif est quelqu’un qui donne, qui donne à voir, à lire, à entendre, à toucher quelque chose que d’autres ne sont pas en mesure de produire.

Et ce quelque chose a vocation à apporter de la valeur à celui qui le reçoit.

Alors quand des créatifs décident d’utiliser les jouets les plus célèbres du monde, et de les travailler pour raconter l’histoire la plus transformatrice du monde, on obtient un résultat de dingue.

C’est certainement l’une des versions les plus créatives de la Bible que j’aie jamais vue, et je t’invite à la découvrir ici avant vendredi soir, 23h59 >>

God bless,

Pascal

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Il m’a fallu 6 mois pour récupérer !

21 juin.

C’est l’été.

Et c’est la fête de la musique.

Tu vas peut-être descendre dans la rue ce soir et te joindre à la foule pour chanter, danser, jouer, …

La musique va peut-être t’amener à adopter des comportements dont tu n’as pas l’habitude.

Au mariage de Rachel et Jonathan auquel j’étais invité l’été dernier… j’ai dansé tellement, comment dire, bizarrement, qu’il m’a fallu plus de six mois pour récupérer complètement l’usage de mes genoux…

La musique est un moyen fascinant pour faire communier les gens.

Dans la rue, des personnes qui ne se connaissent pas vont pouvoir vivre une expérience joyeuse ensemble grâce à la musique.

Quel que soit ton tempérament, plutôt paisible ou plutôt hyperactif, la musique est un moyen d’accompagner tes humeurs et de te mettre en action.

Pour le meilleur ou pour le pire, la musique a une influence.

Et cela, l’Eglise, à travers les âges, l’a bien compris. Pour que le message se transmette et se retienne, rien de tel que de le mettre en musique !

Mais alors, si la musique a une telle influence… utilisons-la A FOND pour qu’elle porte plus loin le plus beau message !

Dans un mois, un festival de musique chrétienne se tiendra en Moselle, en collaboration avec le SEL.

Il rassemblera des artistes comme Samuel Olivier, Glorious, Matt Marvane, Piero Battery, Prince K-Mer, DaddyFlow, Thomas Blanc, Grégory Turpin, Noémie Kessler et Alexia Rabé.

Je connais personnellement pratiquement la totalité de ces artistes.

Et je peux dire que si j’avais un plateau à composer aujourd’hui, assurément, je ferais aussi appel à ceux-là !

Prévu pour être familial et accessible à tous les âges, tu y trouveras des jeux, du fun, du sport, et un espace restauration.

Ce festival de musique se tiendra à Mittersheim, entre Strasbourg et Nancy, du 22 au 24 juillet.

L’entrée est libre.

Le SEL est partenaire de l’événement.

Alors en ce jour spécial de la Fête de la Musique, je ne peux que t’encourager à regarder sur le blog La Pensée de Pascal la petite vidéo de présentation du festival Mitt’Him.

God bless,

Pascal

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Notre entretien avec le Ministre

Lorsque je me suis rendu à Madagascar, deux choses m’ont frappé.

La première, c’est la pauvreté.

Je n’aime pas décrire la misère, parce que je ne veux pas risquer d’enfermer un pays ou des personnes dans une image parcellaire et peu reluisante.

Mais j’avoue que voir dans une même flaque d’eau boueuse un chien crevé, un homme en train d’uriner et un enfant en train de jouer, cela m’a retourné le cœur.

Avec mon ami et collègue Stef, et son épouse Christine, nous avions été reçus en audience privée par l’un des Ministres de la République de Madagascar.

Dans le bâtiment du ministère, les peintures étaient défraîchies. Sur les murs des couloirs était scotchée une note interne signée du ministre, demandant de veiller à ne pas allumer les lumières pour faire des économies d’électricité. L’un des deux ascenseurs était en panne. L’autre ressemblait à ce qu’on a dans les tours HLM de France.

Mais juste après ce rendez-vous, nous sommes allés à quelques kilomètres de là, dans le village créé par le Père Pedro.

Ce prêtre qui sera sans doute un jour Prix Nobel de la Paix, nous avait reçus et fait visiter ce qu’il avait mis en place.

Le village était constitué de maisons solides en pierre, peintes de jolies couleurs chatoyantes. Les rues étaient pavées et parfaitement aménagées pour gérer les écoulements d’eau. Elles étaient propres, pas un papier ne traînait par terre.

Il y avait tout pour prendre en charge la vie humaine dans des conditions décentes, depuis la maternité jusqu’au cimetière, en passant par les écoles, les formations professionnelles, les loisirs, les églises.

Et j’ai pris conscience que la misère n’était pas une fatalité.

Si les bonnes décisions sont prises, si les personnes sont correctement formées, encadrées, et responsabilisées, alors on peut profondément et durablement changer leur vie.

Je l’ai vu de mes yeux.

Dans quelques jours, Stef et moi te proposerons un programme spécial pour venir en aide à Madagascar.

Madagascar a besoin et Madagascar est capable.

Avec le juste coup de pouce, on peut transformer le quotidien et l’avenir d’une île de 27 millions d’habitants.

Prépare-toi, on s’en reparle d’ici peu !

God bless,

Pascal

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