Le jour où il lui a coupé le nez…

On dit souvent que Noël, c’est la fête des enfants.

Bon, on sait tous que ce n’est pas tout à fait vrai, n’est-ce pas… Réduire Noël à une fête pour les enfants, c’est passer à côté d’une réalité bien plus universelle.

Mais j’ai quand même joué le jeu : depuis un mois et demi, j’ai présenté plein de sujets en rapport avec les enfants.

En fait, je pourrais en présenter encore plein d’autres, parce que mes propres enfants sont une source intarissable d’inspiration !

Je te parlerai sans doute dans une Pensée de ce jour où mon fils aîné avait voulu couper le nez de son petit frère.

Ou encore de cette fois où l’un de mes enfants a décidé de jeter tous ses slips sur le toit de la maison.

Ou de ce jour où un autre de mes enfants – que je ne nommerai pas par égard pour son avenir – a décidé secrètement de faire caca dans le poulailler pour vérifier si nos poules, réputées omnivores, mangeaient le caca (maintenant, nous avons la preuve qu’elles n’aiment pas ça).

Mais bon, il paraît que toutes les bonnes choses ont une fin.

C’est donc aujourd’hui la dernière fois avant Noël que je te parle de cadeaux de Noël à destination des enfants.

Parce qu’évidemment, en tant que papa, je suis particulièrement sensible à ce que les enfants, tous les enfants des lecteurs de La Pensée, puissent recevoir quelque chose qui les fassent grandir dans la foi.

C’est mon désir, et c’est notre responsabilité d’adultes que de transmettre aux enfants qui sont sur notre chemin des éléments qui feront une différence énorme dans leur future vie d’adultes.

Si donc tu es à la recherche de quelque chose pour les enfants, c’est ici, et ça se termine ce soir, à 23h59 >>

Et si ça n’est pas le cas, il te reste à attendre jusqu’à demain, où je te parlerai d’un sujet beaucoup moins drôle, mais néanmoins plein d’espoir.

God bless,

Pascal


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Seuls dans leur chambre…

Jésus appela les enfants et leur dit : “Laissez venir à moi les petits enfants et ne les en empêchez pas.” (Luc 18:16)

Ne les en empêchez pas !

Cela signifie que nous, adultes, devons leur permettre, par tous les moyens possibles, de venir à Jésus, de le découvrir et de savoir qui il est.

Il se trouve qu’aujourd’hui, on sait que tous les enfants ne fonctionnent pas de la même façon, qu’ils ne sont pas câblés pareil.

Au moment de découvrir une histoire qui leur parle de Jésus, certains enfants ont besoin du calme de leur chambre pour tourner les pages d’un livre. D’autres seront plus sensibles à écouter l’histoire qui leur sera lue. D’autres encore la retiendront mieux s’ils ont devant les yeux les illustrations animées qui vont avec l’histoire.

Et d’autres alterneront.

Ne les en empêchez pas !

Cela veut dire que c’est à nous de leur donner le goût de connaître Jésus.

De leur fournir des histoires différentes, jusqu’à ce que l’une d’entre elle fasse mouche, et que l’enfant se plaise à lire et à relire plusieurs fois de lui-même.

Car c’est ainsi que, petit à petit, il apprendra la confiance dans ce Jésus qui peut vraiment entrer dans sa vie et le toucher, lui.

Ne les en empêchez pas !

Cela veut aussi dire : permettez-leur, à toute heure, en tout lieu, de pouvoir être au contact de Jésus, des histoires de la Bible ou des histoires qui les font grandir dans leur marche avec Jésus.

Qu’ils soient seuls dans leur chambre, ou au salon avec un adulte, ou dans la voiture, ou sur leur lieu de vacances : qu’en toutes occasions, les histoires de Jésus puissent rester avec eux.

Alors ne les en empêchez pas, en regardant ici ce qui a été prévu pour qu’ils puissent, de toutes les façons, découvrir des histoires qui les rapprochent de Jésus >>

God bless,

Pascal


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Ils ont trimballé leur copain sur le toit…

Dans la Bible, les Évangiles selon Luc* et Marc** nous présentent une histoire étonnante.

On a une bande de 5 copains, dont l’un d’eux est handicapé.

En l’absence de fauteuil roulant, il était donc allongé sur une sorte de brancard.

Jésus se trouve dans une maison, et les 4 copains veulent amener leur pote devant Jésus, parce qu’ils pensent qu’il est capable de faire quelque chose pour lui.

Comme à l’époque, il n’y avait pas de places réservées aux personnes à mobilité réduite à proximité des entrées d’immeubles et de résidence, nos héros du jour ont dû être inventifs.

Il y avait trop de monde pour qu’ils puissent le passer par la porte.

L’histoire ne le dit pas, mais je suppose qu’il y avait aussi trop de monde aux fenêtres pour pouvoir accéder.

Alors ils ont trimballé leur copain sur le toit de la maison, en veillant à ne pas le renverser. Ils ont fait une ouverture et ils l’ont déposé aux pieds de Jésus.

Et Jésus l’a guéri.

Ils étaient tellement déterminés que je suis à peu près sûr que si le toit avait été impossible à ouvrir, ils se seraient débrouillés pour creuser un tunnel jusqu’à la pièce où se trouvait Jésus !

D’une façon où d’une autre, il fallait que leur copain puisse rencontrer Jésus.

Et cette histoire m’a fait penser à la façon dont nous-mêmes, nous pouvons aller à la rencontre des histoires de l’Evangile.

Certains ne peuvent pas être touchés par un livre en version papier, ils préfèrent la version PDF. D’autres n’aiment, ne peuvent ou ne savent pas lire, alors il leur faut de l’audio. D’autres ne sont pas satisfaits par l’audio, alors il leur faut une version vidéo.

D’autres sont à l’aise avec tout ça, mais aiment alterner les approches.

C’est le reflet de notre diversité.

D’une manière ou d’une autre, ils doivent être touchés par le message. Seul le message compte. Les moyens mis en œuvre sont tous au service du message !

Si tu es d’accord avec cette idée-là, et qu’en plus tu as des enfants dans ton entourage, alors regarde ici ce qu’on a préparé, juste pour eux >>

God bless,

Pascal

* Luc, chapitre 5, versets 17 à 26

** Marc, chapitre 2, versets 1 à 12


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Ah bah oui, bien sûr !

Je discutais l’autre jour avec un ami qui me demandait des conseils au sujet de son activité sur internet.

Comme j’avais un peu plus d’expérience que lui, je lui disais ce sur quoi il fallait être vigilant, ce qui me semblait fonctionner, ne pas fonctionner. Les trucs qu’il fallait absolument faire, et ceux qui demandaient à être testés.

En réalité, je ne lui ai rien dit qu’il ne savait déjà. Ce que je lui ai dit était logique, puisqu’il me répondait “Ah bah oui, bien sûr”, “Oui, évidemment”, …

Mais le fait de l’entendre de la part d’une personne extérieure et de confiance donnait de l’intérêt et de la pertinence à mon propos. Et il a appliqué.

C’est exactement ce qu’il s’est passé avec moi, quand quelqu’un m’a donné des conseils que je savais intuitivement, mais que j’avais besoin qu’on me dise. D’un coup, ces conseils sont devenus pour moi la chose qu’il fallait que je fasse, parce que ça venait d’une source que je considérais comme crédible.

Un de mes amis qui organisait des événements inter-églises à destination des jeunes, me disait sensiblement la même chose : “les jeunes vivent des choses dans leurs églises, ils sont nourris tout au long de l’année par leurs parents ou leurs responsables spirituels. Mais c’est au cours de nos événements qu’ils prennent des décisions fortes avec Dieu.”

De leur côté, les enfants aussi ont besoin que les choses leur soient dites et enseignées par leurs parents et leurs proches.

Mais lorsqu’ils reçoivent quelque chose qui provient d’une source extérieure, cela a un impact différent sur eux, qui va les toucher et susciter leur intérêt.

C’est cette source extérieure que je te propose aujourd’hui. Elle est précieuse pour amener les enfants plus loin dans leur relation, leur connaissance et leur confiance en Dieu.

Je t’en offre d’ailleurs un exemplaire à télécharger ici avant demain soir, 23h59 >>

God bless,

Pascal


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Je ne pouvais pas refuser !

Aujourd’hui, c’est la 600ème Pensée que je t’écris.

Alors pour fêter ce petit événement, je vais te parler de Myriam Callec.

Avec Myriam, on se voyait en général une fois ou deux par an, sur un salon. On s’est tout de suite bien entendus.

Quand on s’est connus, elle travaillait à l’époque pour une maison d’édition chrétienne. Puis elle a continué dans le milieu du livre. Quand j’ai commencé à proposer des livres sur notre site, elle m’avait donné des tas de conseils précieux. Quand j’ai voulu éditer un livre, j’ai fait appel à ses services.

Une pro.

Pour dire à quel point nous nous tenons mutuellement en estime : Myriam est lectrice de mes Pensées quotidiennes. 🙂

Depuis quelques mois, c’est elle qui gère le magazine pour enfants Tournesol.

Tournesol, c’est l’un des plus anciens périodiques de bande dessinées pour enfants en France : il existe depuis plus de 60 ans !

Un monument dans l’histoire de la BD d’une part, et de la presse chrétienne d’autre part.

Myriam m’appelle donc il y a quelques mois, pour me proposer un truc.

Un truc assez fou pour que je lui dise oui, tout de suite.

“Pascal, est-ce que tu serais d’accord pour qu’on adapte La Pensée de Pascal en version Bandes-Dessinées pour les enfants ?”

Tu comprends que je ne pouvais pas refuser…

Elle m’a mis en relation avec un dessinateur. Je lui ai proposé des textes.

Et me voici donc maintenant avec mon petit personnage de BD.

Plus exactement, c’est un personnage inspiré de moi, parce qu’il paraît qu’il fallait opérer quelques modifs pour faire ressortir des expressions de visage, des trucs comme ça.

Je t’avoue que ça me fait quelque chose, parce que Tournesol, j’ai grandi avec. Et je n’aurais jamais, mais alors JAMAIS imaginé me retrouver un jour dedans !

Pour l’année 2022 donc, les jeunes lecteurs de Tournesol pourront découvrir dans chaque numéro une de mes Pensées sur une page.

Je n’ai pas encore la première planche de BD à te présenter.

Mais j’ai déjà le premier dessin du personnage.

En avant-première, je te le présente ici >>

God bless,

Pascal


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Ça fera des cadeaux !

Quand on part en vacances, Karine revient toujours avec un lot de cartes postales.

Des cartes sympa, mignonnes ou rigolotes, qui disent “Joyeux anniversaire” ou “Félicitations” ou des témoignages d’affection.

Et quand je lui demande : “Mais pourquoi t’as pris ces cartes ?”,

elle me répond toujours un truc du genre : “Elles sont belles, ça fera des cadeaux !”

Et de fait, comme elle les a sous la main, elle a toujours une occasion pour les offrir à une personne ou à une autre.

Ça lui fait plaisir, et ça fait plaisir à ceux à qui elle les offre.

Cartes de condoléances : pareil.

C’est toujours bien d’en avoir quelques-unes chez soi. Parce que le jour où… On a autre chose à faire qu’acheter des cartes.

De même, elle achète parfois des petits cadeaux pour bébés quand elle tombe sur une bonne affaire.

Et je lui demande : “Qui c’est qui a eu un bébé ?”

Et elle me répond : “Personne. Mais je trouverai à qui l’offrir.”

Et elle trouve toujours à qui l’offrir !

Elle ne l’aurait pas offert si elle ne l’avait pas eu sous la main, parce que le jour où elle en a besoin, elle n’a pas le temps d’aller l’acheter.

As-tu des enfants dans ton entourage ?

Que ta réponse soit oui ou non, le jour où l’occasion se présente de leur faire plaisir, de leur témoigner ton affection, en général on va au plus simple. La plupart du temps, les adultes vont leur offrir une boîte de biscuits bourrés de sucres et de graisses (et leur faire associer l’idée que biscuits bourrés de sucres et de graisses = leur faire du bien).

Ou alors, ils peuvent décider de prendre le contrepied et de leur offrir quelque chose qui leur fera réellement du bien.

Regarde par ici. Je t’ai préparé une occasion de constituer une petite réserve dans laquelle tu n’auras plus qu’à te servir le moment venu >>

Les enfants te diront merci…

Bonne visite !

God bless,

Pascal


PS : Ce mardi à 20h30, ne manque pas le deuxième webinaire avec Eric Béhanzin destiné aux entrepreneurs et dirigeants. Inscriptions ici >>

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Et les livres, surtout les parchemins…

Rome, an 64-65.

L’apôtre Paul est âgé.

Il est en prison, il a froid, il va bientôt être mis à mort par décapitation.

Là, il écrit sa deuxième lettre à Timothée.

Et à la fin de ce courrier, il lui demande une chose : 

“Quand tu viendras, apporte le manteau que j’ai laissé à Troas chez Carpus, et les livres, surtout les parchemins.”

Au seuil de la mort, Paul, l’érudit, veut continuer à lire.

Il a besoin d’apprendre.

Il a besoin de découvrir encore et encore.

Il sait la richesse qu’il y a dans les livres et c’est de livres dont il a encore besoin pour passer ses derniers temps sur la terre.

On n’a jamais assez lu.

On n’est jamais arrivé au bout des savoirs.

Il n’y a pas d’âge pour commencer à aimer la lecture, bien sûr. Mais il est évident que plus on commence tôt à entrer dans l’abondance de lecture, plus le goût se développe.

Comme pour les goûts alimentaires : plus un enfant découvre de saveurs, plus son sens du goût sera développé pour toute sa vie.

Offrir des livres en abondance à un enfant, c’est l’éveiller, c’est entraîner sa réflexion, c’est lui donner plus de sensibilité, c’est aussi lui permettre de développer son esprit critique et sa capacité à prendre des décisions par lui-même.

Et offrir des livres qui parlent de Dieu, c’est, de la même manière, lui donner des clés pour mieux Le connaître, pour se l’approprier, pour faire de Dieu une évidence dans sa vie.

On n’a jamais trop de livres, surtout lorsqu’on est enfant.

Noël approche.

Je te propose d’offrir aux enfants qui t’entourent, une des plus belles façons d’investir en eux. Je te présente ces livres ici, et jusqu’à lundi soir seulement. >>

Bonne visite !

God bless,

Pascal


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Six secondes en moyenne !

Les statistiques disent qu’un recruteur passe en moyenne 6 secondes sur un CV.

Ceux qui en reçoivent beaucoup ne peuvent pas prendre le temps de tout lire, c’est normal.

En 6 secondes, on se fie à quelques éléments qui attirent davantage l’œil. L’intitulé du CV, peut-être la photo, le dernier diplôme. Et bien sûr, la qualité du graphisme fait partie de ces éléments. Une vieille typo des années 80, une mise en page désuète, et hop… 6 secondes. Candidat suivant.

Dans le passé, j’ai moi-même reçu des milliers d’échantillons de CD qu’il me fallait évaluer. Il y a quelques exceptions, bien sûr. Mais en général, avant même d’avoir commencé à écouter, l’ambiance suggérée par le graphisme de la pochette donne envie ou non d’écouter l’album.

Un de mes amis avait édité un magazine. Franchement, la thématique du magazine était vraiment intéressante. Mais le graphisme était tel que, même quand j’ai réussi à prendre mon courage à deux mains pour rentrer dans la lecture, je n’ai pas réussi à y rester plus de quelques instants.

Dans l’ère actuelle, nous sommes littéralement assaillis par les images, les visuels, les éléments de communication.

Lorsque je dois réaliser une bannière pour un site, je vais sur des banques d’images et je peux trouver des dizaines, parfois des centaines de très bonnes images adaptées à mon message.

Pour être pertinent aujourd’hui et sortir du lot, le graphisme doit être adapté, accrocheur, pertinent, contemporain.

Ne crois pas que les enfants soient insensibles à cela : leurs avis sont encore plus tranchés que ceux des adultes.

Si quelque chose est moche, si ça n’entre pas dans leurs “codes graphiques”, ils ne lui donnent même pas une chance de se laisser convaincre.

Cela vaut aussi pour la découverte des histoires de la Bible. Pour les enfants, il faut que les images soient à la hauteur du message. Donner envie de s’approprier ces histoires, ça passe aussi par là.

Alors jusqu’à ce soir, 23h59, viens découvrir ici ce que des créateurs inspirés sont capables de réaliser pour captiver les enfants >>

God bless,

Pascal


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Pas d’informatique évidemment

Je ne sais pas si tu as remarqué.

Il y a dans les histoires bibliques une contrainte à prendre en compte lorsqu’on veut les présenter aux enfants.

Les histoires se passent dans des époques lointaines.

Et avec ces époques lointaines, il y a des codes culturels lointains aussi. Des vêtements, des décors, des coupes de cheveux et de barbe, un vocabulaire … Pas d’informatique évidemment, pas non plus d’autres objets ou notions qui font partie de notre quotidien de 2021 : les voitures, certains sports, etc.

Alors parfois, les enfants ont du mal à s’approprier les récits de la Bible. Ils ont l’impression que ça ne les concerne pas, que ce qui est raconté est loin de leurs repères, de leurs préoccupations. Ils ne voient pas en quoi ça peut les concerner, eux, enfants du XXIème siècle, dans leurs contextes culturels.

Comment dès lors faire la jonction entre ces récits et leur quotidien.

C’est là qu’intervient le génie des producteurs de la série Superbook.

Ils ont mis en scène 3 personnages de notre époque : un garçon, une fille et un petit robot. Et ces personnages d’aujourd’hui sont transportés à chaque fois dans le passé, au cœur d’une aventure qui se déroule dans les lieux et les époques bibliques.

Une fois là-bas, ils voient, ils commentent, ils interagissent.

Ils en tirent une leçon, une morale, un enseignement.

Et ils reviennent dans le monde d’aujourd’hui, où ils peuvent appliquer ce que l’histoire qu’ils ont vue leur a fait comprendre. Ça améliore leur vie, leurs relations, leur compréhension des réalités spirituelles appliquées dans le monde réel.

Ça fait une jonction logique entre les histoires de la Bible et leur application pratique.

C’est hyper bien fait, c’est captivant, c’est moderne.

J’ose même un gros mot : c’est addictif.

Ça ravit les enfants et les adultes.

Et jusqu’à demain soir, tu peux en voir un extrait ici >>

God bless,

Pascal


PS : as-tu visité le nouvel espace “objets-cadeaux” que nous avons ouvert depuis une semaine ? Il est ici >>

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Ils marchaient à 4 pattes…

Je suis papa de trois enfants, dont un fils et une fille qui sont jumeaux.

Gédéon et Salomé ont maintenant 12 ans.

Mais ce jour-là, ils avaient quelques mois et se déplaçaient à quatre pattes. Et crois-moi, même à quatre pattes, un bébé peut quand même avancer très vite !

J’étais seul avec eux à la maison, en train de cuisiner.

Le tiroir du bas où je range mes plats était ouvert.

Arrive Salomé, discrètement qui, voyant le tiroir ouvert, attrape un plat en céramique, et le jette par terre.

Un jeu très amusant pour elle, visiblement, qui me fait perdre un plat.

Je la prends et l’amène dans la pièce d’à-côté.

Pendant ce temps, Gédéon, sans doute amusé par l’expérience de sa sœur, avait trouvé le chemin du tiroir, avait saisi un autre plat, et le fracassait à son tour sur le carrelage.

Je reviens dans la cuisine, attrape Gédéon, l’amène dans l’autre pièce.

Dans l’intervalle, Salomé était revenue, et me détruisait un troisième plat, dans un éclat de rire qui résonne encore dans ma tête de papa.

J’ai perdu ce jour-là trois plats et un peu de temps pour faire le ménage.

Mais je donnerais tout pour revivre cet épisode qui replonge encore aujourd’hui les enfants dans la même excitation chaque fois que je le leur raconte.

Que valent trois malheureux plats en céramique et une séance de ménage, contre les rires de mes enfants et ces souvenirs de complicité ?

Perdre un peu, pour gagner ce qui n’a pas de prix.

C’est un placement dans lequel je suis prêt à réinvestir aussi souvent que possible.

God bless,

Pascal


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