Coup double !

Le savais-tu ?

Des patrons de grandes entreprises ont intégré dans leur modèle financier le fait de faire don d’une partie importante de leurs bénéfices à des structures caritatives.

Pas seulement pour leur permettre de défiscaliser, car leurs dons vont au-delà de l’intérêt fiscal. 

Pas seulement pour soigner leur image publique, parce qu’ils ne le crient pas forcément sur les toits.

Mais parce qu’il y a une mécanique dans le don, qui est contre-intuitive mais pourtant bien réelle : quand on donne, on peut recevoir beaucoup en retour.

Il y a dans la logique du don et de la générosité une sorte d’alchimie qui se met en place, dans laquelle le fait de donner attire les retours favorables, et nous met dans une disposition d’attention aux besoins de l’autre.

Et cela nous amène à rencontrer naturellement les “bonnes” personnes, celles qui, comme nous, cherchent à vivre généreusement.

Par la porte ou par la fenêtre, cette générosité qui émane de la personne qui la pratique, lui revient. Le plus souvent d’ailleurs par une source totalement différente !

Elle enclenche un processus qui lui échappe et qui est étonnant.

Même avec des années de pratique, on reste toujours surpris par les chemins de traverse empruntés !

Il se trouve qu’en France, lorsqu’une personne est assujettie à l’impôt sur le revenu, 66% ou 75% du montant de ses dons sont déductibles de ses impôts.

Cela signifie qu’en donnant à une association habilitée à délivrer des reçus fiscaux, en plus de pratiquer la générosité, tu es déjà en train de payer tes impôts !

Coup double.

Si tu le décides, ton argent peut être orienté vers une structure qui saura le multiplier en semant dans la vie de personnes chez qui il fera vraiment une différence.

Tout au long de cette année, je t’ai plusieurs fois fait part des différentes actions menées par le SEL.

J’aime les actions menées par cette association de solidarité internationale, et j’ai relayé régulièrement leurs campagnes.

Je veux te suggérer aujourd’hui d’orienter ton don auprès d’elle, en apportant ta contribution ici >>

God bless,

Pascal


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Ce mot qu’on voit partout !

Regarde autour de toi.

Il y a un mot qui est utilisé partout, absolument partout.

Mais qui est en fait un abus de langage.

Ou un mensonge.

On le retrouve sur tous les supports.

Sur ton paquet de lessive, tes tranches de jambon, ou ta carte de fidélité dans ta pizzeria.

Ce mot, c’est le mot “gratuit”.

Or, il n’existe à peu près rien de gratuit.

Si c’est gratuit, c’est que quelqu’un d’autre a payé pour toi.

Même la vie éternelle, même la grâce de Dieu, ne sont pas gratuites.

Gratuit, c’est quand ça ne coûte rien.

Or, ta vie éternelle, la grâce de Dieu, ont coûté énormément.

Tes 50% de lessive supplémentaires, ta tranche de jambon en plus ou ta onzième pizza, ne sont pas davantage gratuites.

Leur coût est intégré dans un calcul global qui permet de te l’annoncer comme gratuit. Ou alors, il est affecté à un budget marketing qui en assumera lui-même la dépense, sans la faire porter au consommateur.

En revanche, le mot exact qui pourrait être utilisé, c’est “offert”.

Toutes ces gratuités sont en fait des cadeaux.

Lorsque tu as offert un cadeau à Noël, ça n’a peut-être rien coûté à celui qui l’a reçu, mais ça a coûté à celui qui l’a offert.

C’est cadeau.

C’est offert.

Il se trouve que dans le monde des médias en général, et de l’internet chrétien en particulier, c’est la même chose.

Des médias comme Infochrétienne, Un miracle chaque jour, On est ensemble, L’Evangile du Jour, La Matinale avec Stéphane Quéry, et même la version française de The Chosen dont je t’ai parlé hier et qui sera diffusé aujourd’hui sur la chaîne C8 : tous ces médias-là, tous ces services, sont offerts. 

Ils sont offerts pour faire grandir les chrétiens et leur apporter des ressources qui les nourrissent.

Mais si ces ressources sont offertes, cela ne veut pas dire qu’elles sont gratuites et ne coûtent rien !

Loin de là…

Il y a derrière elles une structure que je connais bien et qui s’appelle IC News.

Et cette structure vit essentiellement de dons.

Comme tu le sais sans doute, si tu résides en France, 66% ton don est déductible de ton impôt sur le revenu, si tu procèdes à ce don avant le 31 décembre.

Es-tu sensible à ce genre de services ?

Alors tu peux permettre qu’IC News puisse poursuivre sa mission.

Comment ?

En manifestant ton soutien ici >>

God bless,

Pascal


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STOP AUX GRANDS DISCOURS ET AU PRÊCHI-PRÊCHA !

Nous étions en vacances en camping, à 700 km de chez nous.

Nous n’avions alors que notre fils aîné, qui avait deux ans.

Karine et moi avions sympathisé avec un jeune couple qui occupait un autre emplacement. Ils étaient SDF, marginaux, et nous nous étions rapidement attachés à eux.

Ils n’avaient pas de voiture, nous oui, et on avait vraiment envie de passer du temps avec eux, de les emmener dans nos virées, et même de les aider dans certaines démarches (rédiger un CV par exemple).

Mais ils avaient pris l’habitude de mentir pour tout et n’importe quoi. Ils inventaient des bobards pour la moindre chose, même la plus insignifiante. Et ils nous racontaient d’autres inventions pour couvrir le précédent mensonge. Ne sachant plus faire confiance aux gens, ils étaient dans le mensonge permanent.

Ils n’arrivaient pas à se défaire de cette habitude qu’ils s’étaient forgée par protection.

Nous leur voulions pourtant vraiment du bien et avions sincèrement de l’amour pour eux.

Plusieurs mois après nos vacances, nous étions restés en contact régulier, jusqu’à ce que leurs difficultés et leurs choix ne les amènent à couper le contact avec nous. Ils ont eu un enfant, se sont séparés et j’ai découvert récemment, à force de recherches, qu’elle s’est suicidée il y a trois ans.

Tu connais aussi des personnes qui ont été tellement malmenées par la vie qu’elles ne savent plus du tout faire confiance. Peut-être es-tu de celles-ci ?

Ces personnes-là ne veulent pas de grands discours, de théories, de prêchi-prêcha. Pour elles, tout ça pue à 100 kilomètres. Tout ce dont elles ont besoin, ce sont des personnes authentiques. Des gens avec qui on peut juste rire ensemble, griller des saucisses, parler d’elles et de soi, sans chercher à s’impressionner mutuellement. Juste deux cœurs ouverts, et, entre les deux, de l’amour, de la grâce et de la miséricorde.

Je me sens parfois SDF face à Dieu.

Dieu ne cherche pas à m’amadouer, à m’impressionner. Ça ne marche pas avec moi et il le sait bien. Je veux un Dieu vrai, qui me parle à cœur ouvert et à qui je peux parler librement. Et c’est comme ça qu’il est.

Il me témoigne sa confiance, et je lui fais confiance. Mes barrières tombent et, malgré ma crasse et toutes mes manoeuvres, il me prend dans ses bras pleins d’amour, de grâce et de miséricorde.

C’est ce Dieu-là que je sers et que je veux continuer de servir.

God bless,

Pascal

PS : Si tu veux en connaître davantage sur l’infinie miséricorde de Dieu, qui sait te chercher là où tu es, comme tu es, je te recommande cet ouvrage, très simple et très riche.

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