Il a mis à part les garçons et les filles…

Invité à parler des questions d’identité au cours d’un rassemblement de jeunes, il a pris à part les garçons et les filles.

Et il a demandé aux uns et aux autres comment chacun percevait l’identité masculine.

Le résultat est édifiant :

– 90% des qualificatifs émis par les garçons / hommes au sujet des hommes sont positifs : force, virilité, courage, abnégation,  etc.

– 90% des qualificatifs émis par les filles / femmes au sujet des hommes sont négatifs : manque de confiance, manque de fiabilité, peur, danger, etc.

Quel que soit l’âge ou la région d’origine des participants, le constat était toujours le même !

Hommes et femmes, nous posons sur les hommes des projections et des constats différents.

Et cette différence de perception n’est pas sans conséquence sur nos difficultés de communication et sur la société.

Les hommes se fixent des standards élevés. Et – pour beaucoup – ils ne se sentent pas à la hauteur de la “tâche” qui leur est confiée en tant qu’homme.

Et les femmes posent sur les hommes un regard suspicieux et négatif qui n’aide pas les hommes à endosser pleinement leur identité d’homme selon le projet divin pour eux. Et ce regard négatif les empêche elles-mêmes d’endosser leur identité féminine en saine complémentarité avec les hommes.

Ce constat est posé par le pasteur Jérémie Poulet, que j’ai invité à témoigner dans la vidéo d’aujourd’hui.

Ce qu’il apporte est d’une brûlante actualité.

Que tu sois une lectrice ou un lecteur, quels que soient ton âge ou ta situation familiale, cette vidéo est sur le point de t’apporter des éclaircissements précieux qui vont bouleverser ta vie et tes relations >>

God bless,

Pascal

PS : Dans la vidéo, Jérémie Poulet pose une question à laquelle je t’invite vivement à répondre, soit en commentaire, soit par e-mail.

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Elle a traversé toutes les épreuves

Je suis un entrepreneur.

Qui dirige une plate-forme sur laquelle se retrouvent des tas d’autres entrepreneurs.

Quand on est entrepreneur, on entreprend.

On lance des trucs. Certains réussissent, d’autres échouent, c’est comme ça.

La quasi-totalité des entreprises fondées il y a plus de 150 ans sont mortes aujourd’hui : mutations technologiques, manque de vision, décès du dirigeant, mauvaises affaires, mauvais choix stratégiques, désaccords dans la direction, troubles sociaux, contexte économique ou politique… Il y plein de raisons qui font qu’une organisation – entreprise ou autre – échoue.

A l’époque de Jésus, on pensait l’Empire Romain invulnérable. Il faisait peur à tout le monde. Et pourtant, moins de cinq siècles plus tard, c’en était fini.

En fait, il y a une organisation, l’une des plus anciennes au monde, qui a traversé les siècles et les épreuves, et qui existe encore aujourd’hui.

Elle a fait mieux que la totalité des entreprises, celles qui se sont effondrées, et celles qui s’effondreront (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, s’effondreront aussi, tout comme l’épicerie du coin de la rue).

Elle arrive à survivre aux systèmes politiques les plus durs, aux dictateurs les plus dérangés et aux indifférents les plus décourageants.

Elle a su rester d’actualité même quand elle est présentée comme démodée.

Elle s’est relevée de toutes les humiliations, les persécutions et les tentatives d’éradication qu’elle a subies, ce qu’aucune autre organisation n’a su faire comme elle.

Et nous savons – parce que l’histoire est déjà écrite – qu’elle ne s’éteindra pas.

Elle est sans AUCUN doute possible l’organisation indestructible par excellence, de laquelle tous devraient prendre modèle même si beaucoup la fustigent.

Mesdames et Messieurs, si vous voulez rejoindre un projet qui va réussir : bienvenue dans l’Eglise !

God bless,

Pascal

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Mon invité du jour est Jean-Luc Gadreau

Depuis des années, j’ai toujours sur moi un petit carnet ou mon smartphone.

Si tu aimes le cinéma – et en particulier le cinéma qui transmet quelque chose de l’ordre de la foi et des valeurs – alors regarde absolument cette interview.

Mon invité est un passionné et un expert en la matière.

Je reçois aujourd’hui Jean-Luc Gadreau, Président de la structure organisatrice du Prix du Jury Oecuménique du Festival de Cannes.

Il est également directeur du développement de la Fédération des Eglises Evangéliques Baptistes de France, et directeur des programmes protestants sur France Culture.

Il parle de tout ça dans cet entretien.

Bon visionnage !

God bless,

Pascal

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Ça peut te booster de fou !

Depuis des années, j’ai toujours sur moi un petit carnet ou mon smartphone.

Il m’est indispensable pour noter les choses qui m’inspirent.

Un événement, une anecdote, une phrase, un mot. Ce qui m’inspire est noté dedans.

Et je pioche d’ailleurs souvent dedans pour écrire mes Pensées !

Comme j’ai pris l’habitude d’être attentif à ce qui passe devant mes yeux ou dans mes oreilles, je peux te dire que j’ai constaté une chose.

Les paroles les plus inspirantes, les plus “challenging” comme diraient les anglo-saxons, peuvent surgir de personnes que l’on n’attendrait pas.

La foi inébranlable d’une petite mamie, c’est hyper inspirant.

Des paroles d’autorité dans la bouche d’un enfant, ça peut te booster de fou.

Des leçons de vie données par un ado, ça peut transformer ta vision des choses.

Toutes ces personnes-là – et beaucoup d’autres – portent en elles quelque chose de l’ordre du leadership.

Elles l’ignorent sans doute, mais si, par leurs paroles ou leurs actions, elles sont capables de changer quelque chose chez moi ou chez toi, alors ce sont des leaders.

Et être leader, ça se travaille.

On a parfois l’impression que, pour être un leader, il faut être une grande personnalité charismatique, célèbre, présente dans tous les médias, s’exprimant avec assurance au micro sur une estrade.

Erreur.

Les leaders sont là, autour de toi.

Et toi-même, sur la sphère d’influence qui t’a été donnée, tu es un(e) leader.

Mais s’il est important de savoir qu’on est un(e) leader, il est encore plus important de travailler à développer son leadership, pour décupler son influence positive autour de soi.

??Je t’invite à regarder la 8ème formation présentée ici avant ce soir, 23h59 >>

Non seulement cela te fera du bien à toi. Mais cela te permettra en plus d’être une inspiration et une bénédiction pour les personnes qui t’entourent.

God bless,

Pascal

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Avec la gendarmerie…

Quand j’étais plus jeune, j’ai pas mal servi pendant les étés dans des centres de vacances ou des camps d’adolescents.

  • Quand j’étais animateur, j’avais des responsabilités limitées à celles d’un animateur, c’est-à-dire principalement liées à l’animation, à l’encadrement et à la sécurité des enfants.
  • Puis j’ai été directeur adjoint, alors j’avais une autorité plus étendue que lorsque j’étais animateur. En particulier, j’avais autorité sur l’équipe d’animation.
  • J’ai ensuite été directeur, et j’avais les responsabilités incombant à un directeur : les relations avec les parents, la supervision de la cuisine, de l’intendance, de l’infirmerie, les relations avec la gendarmerie, la comptabilité, etc.

Selon la fonction que l’on occupe, on a l’autorité qui va avec.

Si j’avais pris l’autorité d’un directeur quand j’étais animateur, cela aurait été un problème pour tout le monde.

Et si, en tant que directeur, je n’avais exercé mon autorité que sur les champs d’autorités dévolus aux animateurs, les séjours n’auraient jamais pu tourner correctement.

Chacun a une autorité à prendre selon la place qu’il occupe.

Très souvent, les chrétiens pensent qu’ils n’ont pas d’autorité à prendre. L’autorité ne reviendrait qu’aux prêtres et aux pasteurs, ou aux personnes élues pour une fonction.

Et le chrétien se réduirait à être spectateur des décisions et des actions des autres.

Or, ce n’est absolument pas conforme à ce que déclare la Bible.

Les chrétiens “lambda” ont une autorité, et en particulier une autorité spirituelle, sur de nombreux domaines. Et cette autorité, ils la tiennent du simple fait qu’ils ont décidé de marcher avec Dieu. Pas besoin d’avoir été élu à une majorité de 51% pour pouvoir exercer certaines autorités. Pas besoin non plus d’être salarié d’une église à 25 ou 50 ou 100% de son temps.

Non !

Les chrétiens ont une autorité dont ils peuvent et doivent s’emparer.

De quelle autorité s’agit-il ? Sur quoi peuvent-il agir ? Comment le faire ?

God bless,

Pascal

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Quel est le point commun entre un pasteur et une maman ?

On va commencer par une devinette, qui n’est pas une blague.

Quel est le point commun entre la plupart des pasteurs et la plupart des mamans ?

A trop vouloir aider les autres, ils s’oublient eux-mêmes et ignorent leurs propres besoins.

Je t’avais dit que ce ne serait pas une blague.

Observe le nombre de burn outs ou dépressions chez les mamans et chez les pasteurs, tu comprendras.

Aux Etats-Unis, 50% des pasteurs abandonnent dans leurs 5 premières années de ministère. 10% seulement tiennent jusqu’à la retraite.

Mais une maman, ça ne peut pas dire “Je n’en peux plus, j’arrête et je fais autre chose”.

Les mamans d’aujourd’hui sont sollicitées à un point jamais atteint, en même temps que nos modes de vie et de consommation affaiblissent nos organismes. Il n’est pas anodin que des groupes, des communautés de mamans se forment ici ou là pour s’épauler et se serrer les coudes.

Tu es concernée ?

Parmi les solutions existantes, je t’en propose une qui fonctionne assurément :

déplacer ton focus.

Décider que ta priorité du jour ne sera pas ni ton job, ni la lessive, ni les papiers à remplir.

Mais décider que la chose la plus importante aujourd’hui, ce sera ce moment privilégié que tu vas passer avec Dieu. Ce temps d’intimité, seule à seul, où tu vas te mettre à l’écoute de Celui qui connaît déjà tout le contenu de ton planning.

Si tu es concernée par la question du surmenage maternel, ou si tu connais une maman concernée dans ton entourage, je veux vraiment te recommander cet ouvrage, plein de bons conseils, de bienveillance et de témoignages. Sa lecture va t’aider à repenser ton quotidien sous un angle biblique, pour vivre mieux les choses, et t’éviter de craquer.

Ce n’est pas la Bible. Mais c’est une application pratique inspirée d’elle et orientée spécifiquement pour les mamans.

Bonne lecture,

God bless,

Pascal

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25 ans après, je me rappelle très bien du message…

Prends un ballon de baudruche.

Gonfle-le. Approche une allumette. Pas de surprise : le ballon éclate.

Renouvelle l’expérience, mais remplis cette fois le ballon avec de l’eau. Approche l’allumette. Le ballon n’éclate pas.

Lorsque l’ado que j’étais a vu cette expérience, j’étais fas-ci-né !

Et là, l’animateur de l’expérience te dit que le ballon, c’est toi ; l’eau, c’est Christ ; le feu, c’est l’épreuve. Pas besoin de tourner autour du pot :

25 ans après, je me rappelle très bien du message.

C’est le même process (en un peu moins fun) qui est à l’oeuvre quand on me montre une courbe de croissance, un diagramme, un diaporama. J’intègre dix fois mieux que quand j’écoute une conférence sans aide visuelle.

Ca ne correspond peut-être pas à tout le monde. Mais je fais partie de ceux qui sont assez sensibles au visuel.

Il existe plein de circonstances pour transmettre l’Evangile,

ou, du moins, quelque chose de l’Evangile. En famille, avec des amis, au cours d’un culte ou d’une messe, il y a toujours des publics pour qui le visuel est essentiel pour stimuler la compréhension.

Quand je veux transmettre quelque chose à mes enfants, et que je le fais avec un papier et un crayon, clairement, ça passe plus facilement.

Je t’encourage à rivaliser d’ingéniosité, d’audace et d’innovation

pour transmettre ce que tu as à coeur de manière pertinente et percutante.

Et si tu avais besoin d’aide pour cela, regarde par ici, le travail est déjà tout fait.

Je te souhaite de belles expériences et de beaux partages !

God bless,

Pascal

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Il est à toi ! Prends-le !

Voici le courrier reçu de la part d’une lectrice :

“Bonjour Pascal, […] Ma paroisse me sollicite régulièrement pour assurer l’animation des messes.[…] J’aime chanter […] mais je me sens pas légitime […]. Et puis il y a toujours des paroissiens pour vous féliciter et d’autres pour critiquer votre animation. […] Je sais que c’est ma mission sur Terre à travers mon chant […] mais j’ai toujours cette peur. Je le fais régulièrement car j’aime ça, c’est plus fort que moi mais c’est un combat.”

Tu te reconnais ? Moi, je me suis reconnu.

Pas pour le chant parce que je pense que ce n’est pas mon appel. Mais pour d’autres choses. Cette impression de ne pas être légitime bloque des appels et des dons qui sont pourtant réels !

La chose est simple : ta légitimité ne vient pas de ce que les autres en disent.

Ce que les autres en disent peut éventuellement confirmer ta légitimité (si tu sais discerner qui est de bon conseil ou pas).

Mais ta légitimité, elle, vient de ce que Dieu t’a confié.

Nomme tes peurs. Décide de les confier – chaque jour au début – à Dieu pour qu’elles ne soient plus paralysantes. Rapidement, tu verras que tu vas les dépasser.

De temps en temps, si cette petite voix vient à nouveau te sussurer que tu n’es pas légitime, tu la fais taire en lui rappelant de qui te vient ton don.

Et puis tu t’empares du don que Dieu t’a donné.

Il est à toi ! Tu es légitime pour le prendre !

Pour cette lectrice, c’est le chant. Pour d’autres, l’accompagnement des malades, l’écoute des personnes âgées, l’éducation des enfants, inspirer la confiance des animaux, savoir s’occuper d’un jardin, bricoler, écrire, faire de la compta (oui, il y en a) ou n’importe quoi d’autre qu’Il t’a confié…

C’est-à-dire une chose que peut-être tu ne fais pas parfaitement, où tu as encore des lacunes, mais à laquelle tu prends plaisir. Si tu le pouvais, tu y passerais tout ton temps. 

Ensuite, tu travailles ton don pour passer de “bon(ne)” à “excellent(e)” : tu te formes, tu répètes, tu demandes des conseils (tu appliques les bons et tu laisses les autres), tu testes, tu te trompes, tu recommences mieux, etc.

Et, très important…

Tu décides de ne pas écouter ceux qui veulent te décourager ! Ce n’est pas de l’hypocrisie, c’est juste un choix. Comme le choix que tu viens de faire de lire cette Pensée plutôt que la pub d’Auchan.

Tu n’es pas obligé(e) d’écouter (et encore moins de croire) tout ce que les gens te disent. Certains réagissent parfois sans discernement, ou avec leur propre histoire. Certaines personnes masquent leur frustration de ne pas être arrivées à accomplir leur destinée en voulant empêcher les autres d’entrer dans la leur.

C’est un mécanisme répandu. Donc ceux-là, gentiment, avec amour, tu leur dis merci, tu les bénis (éventuellement) et tu continues ta route.

Et puis c’est parti : tu as ton équipement, ta course, ton couloir : fonce !

Go !

God bless,

Pascal

PS : Sur le sujet de la confiance en soi, une ressource fabuleuse ici !

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Ce moment de joie pure…

J’ai passé dix années au conseil de mon église,

dont six comme secrétaire.

Cela veut aussi dire dix Assemblées Générales Ordinaires, dont six pour lesquelles j’avais la responsabilité de rédiger le compte-rendu.

Les Assemblées Générales, c’est ce moment de joie pure où les gens en profitent une fois par an pour dire ce qu’ils n’ont pas osé dire pendant toute l’année (il fallait bien au moins une vertu à ces réunions exemplaires au royaume de l’ennui).

Sais-tu ce qui revient le plus souvent (et, selon les échanges que j’ai pu avoir, c’est le cas dans BEAUCOUP d’églises) ? Le truc qui, quoi que tu fasses, n’arrivera jamais à contenter toute l’assemblée ?

Ce n’est pas la profondeur théologique des prédications. Ni la position de l’église sur la seconde venue de Jésus.

Ni même la cravate du pasteur.

C’est le temps de louange et d’adoration.

C’est toujours trop fort pour les uns, jamais assez pour les autres. Le répertoire est trop ringard, ou alors on ne connaît pas les chants. Trop mou, trop rythmé. On n’arrive pas à suivre, on s’endort. Et pourquoi vous avez accepté machin dans le groupe de louange, et on aime beaucoup bidule mais pourquoi c’est toujours elle au micro ? Tout le monde ou presque a quelque chose à dire sur la louange.

Pourtant, si tu es conducteur(rice) de louange, musicien(ne), chantre, etc., il y a des astuces très simples – mais qui nécessitent une certaine discipline – pour arriver à faire de la louange un moment harmonieux qui amène vraiment l’assemblée dans une attitude où elle peut pleinement louer et adorer son Seigneur.

Je te recommande à ce sujet :

“Ce n’est pas parce que l’on maîtrise tous les aspects techniques relatifs à notre service que l’on peut se permettre de négliger notre condition spirituelle. Recherchons toujours la profondeur. La prière, l’étude de la Parole et l’écoute de Dieu doivent faire partie de nos standards. Si nous n’avons pas envie de louer Dieu et d’apprendre à le connaître, pourquoi ceux qui nous voient sur l’estrade le dimanche matin auraient envie de le faire ?”

Voilà voilà… Bonne visite et bonnes lectures,

God bless,

Pascal

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Il parle de Dieu comme il refourgue sa came !

En as-tu dans ton entourage ? Dans ton église ?

Certaines personnes, quand elles te parlent de l’Evangile, on dirait qu’elles veulent absolument te refourguer leur came.

Et ça tape sur les autres. Et ça use de circonvolutions, ça essaye de convaincre, d’amadouer, limite de manipuler.

Mais l’Evangile n’est pas une marchandise de beaux-parleurs !

On ne transmet pas l’Evangile comme on vend des balais-serpillères sur le marché ! Ou comme on vend une maison ! (si tu es commerçant(e) ou agent immobilier, ne le prends pas personnellement !)

Tu sais pourquoi ça ne marche pas comme ça ?

Parce que la puissance de l’Evangile est intrinsèque à l’Evangile.

Elle ne dépend pas de ta capacité à convaincre les autres. Il suffit de le présenter pour que sa puissance soit dévoilée.

L’apôtre Paul dans l’Epître aux Romains dit que  “L’Evangile est la puissance de Dieu pour quiconque croit.”

L’Evangile est puissant en lui-même, parce qu’il a été donné par Dieu. Et pour cela, tu peux le partager avec la confiance que c‘est Dieu qui te l’a donné !

Tu saisis ?

Rien ne sert de stresser, d’avoir l’impression de ne pas avoir assez dit, assez fait : ce qui importe, c’est de dire l’Evangile. Et l’Evangile ensuite est assez puissant pour aller toucher le coeur de celui qui le reçoit.

Alors les marchands de tapis, vendez des tapis.

Et les chrétiens, vivez l’Evangile, parlez de ce que vous vivez. Et laissez Dieu toucher les coeurs !

Tu ne seras pas plus récompensé si tu as bien vendu la came.

Apprends à développer une évangélisation vraie, décomplexée, et authentiquement pleine d’amour.

Tu verras qu’en lâchant un peu l’affaire, en mettant vraiment Dieu dans le coup, tes paroles vont devenir un canal de transmission authentique, convaincu et simple. A Lui de faire le reste.

Prêt à Lui passer la main ?

God bless,

Pascal

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