Lorsque l’automobile a été inventée, elle n’a d’abord pas vraiment changé la vie des gens.
Elle coûtait très cher, nécessitait des pièces et des compétences rares. De fait, seule une toute petite partie de la population pouvait s’offrir une voiture.
La très grande majorité du peuple continuait à se déplacer avec des véhicules tractés par des chevaux.
Puis est arrivé Henry Ford et le modèle de la Ford T en 1908.
Il a changé le mode de production et uniformisé le modèle, pour abaisser les coûts au minimum et permettre à un large public d’avoir sa propre voiture.
C’était révolutionnaire.
Henry Ford a pensé différemment, et toute la chaîne de production, de promotion, de commercialisation a été impliquée, transformant ainsi l’économie du pays et modifiant substantiellement les modes de vie de la planète entière.
Savais-tu que dans la Bible, Dieu donne des stratégies, des modèles qui nous incitent à penser différemment ?
Il ne nous invite pas à reproduire indéfiniment les mêmes schémas, mais à penser hors de la boîte.
Regarde la manière dont Gédéon a vaincu les ennemis Madianites. Avec une poignée d’hommes et une stratégie basée sur l’effet de surprise, Dieu lui a permis de remporter la victoire.
Regarde comment, en confectionnant un panier flottant sur le fleuve, la maman de Moïse a sauvé son bébé qui par la suite, a sauvé tout son peuple. Il lui a fallu apprendre à penser autrement.
Regarde comment Salomon s’est dépatouillé de l’affaire des deux femmes qui prétendaient toutes les deux être la mère du même enfant. En proposant une solution improbable – couper l’enfant en deux – il a su confondre celle qui mentait et rendre l’enfant à sa véritable mère sans procéder à un test ADN.
Pour réussir, il faut penser autrement.
Il faut sortir des sentiers battus et imaginer des approches qui ne sont pas celles de tout le monde.
Comment la Bible peut nous aider à entrer dans cette nouvelle dimension qui ouvre une infinité de perspectives ?
C’est ce qui est traité dans le premier ouvrage présenté ici jusqu’à demain soir, 23h59 >>
God bless,
Pascal
