L’ennemi public numéro 1 !

Plus que deux jours avant le deuxième tour des élections présidentielles.

Élections après élections, j’ai remarqué une constante dans les programmes des candidats.

Tous veulent du changement. Changement sur les salaires, changement sur le pouvoir d’achat, changement sur la politique migratoire, changement sur la sécurité, changement sur la politique écologique…

En 2012, on se souvient que le candidat François Hollande avait fait campagne et remporté l’élection avec le slogan “Le changement, c’est maintenant”.

Même les candidats à leur propre succession – Emmanuel Macron, mais avant lui aussi Nicolas Sarkozy ou Jacques Chirac – prônent le changement.

Qui veut d’un candidat qui dirait : “Mon projet, c’est que rien ne change.”

Personne !

Nous sommes dans l’ère du changement à tout crin.

Le plastique, c’était fantastique. C’est devenu l’ennemi public numéro un.

Le gasoil, c’était formidable. C’est devenu un carburant hyper culpabilisant.

Dans une ère où tout bouge, tout se démode, tout se remplace et tout périme, les gens sont dopés au changement. Tout ce qui semble un peu daté appartient à une vision soit dépassée, soit nostalgique, mais peine à trouver un élan pertinent pour aujourd’hui.

Alors ce message de la croix qui est porté par les chrétiens – et qui est finalement le même depuis 2000 ans – comment peut-il trouver encore une résonance aujourd’hui ?

Jésus est-il vraiment si ringard que ça ?

Nous savons que non.

Le message de Jésus reste encore d’une troublante actualité, et en plus de cela, il est universel et transculturel.

Alors si le message est toujours pertinent, ce qui doit changer, c’est donc la manière de l’apporter.

Et il existe des clés pour cela.

Ce sont ces clés-là, qui n’étaient pas pertinentes en 1980, qui ne seront probablement plus pertinentes en 2050, mais qui sont parfaitement pertinentes en 2022, que je t’invite à découvrir ici avant ce soir, 23h59 >>

God bless,

Pascal

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La réponse de la prostituée…

De passage dans un pays d’Europe, je marchais ce jour-là dans une rue où travaillaient de nombreuses prostituées.

Je me suis approché de l’une d’elles et de but en blanc, je lui ai parlé de Jésus.

Sa réponse était aussi cash et inattendue que mon approche.

“OK, dis à ton Jésus de venir ici, qu’il me donne 50 euros et je le b****”

Manifestement, l’approche n’était pas la bonne avec elle. Elle n’en était pas au stade où d’un coup, elle me dirait “oui, je veux que Jésus me libère de là où je suis !”

Venir à Jésus, parfois ça se fait en un claquement de doigts.

Mais c’est devenu quelque chose de rare.

La plupart du temps, les gens qui s’approchent de Jésus le font à la suite d’un cheminement, d’un processus. Ce cheminement peut se faire parfois en quelques heures, souvent en quelques années, parfois en quelques décennies.

Et il est d’autant plus long aujourd’hui que les personnes n’ont pas reçu d’éducation spirituelle, ne connaissent rien de la Bible, sont invitées à rejeter l’idée de Dieu. Elles n’ont souvent pas de modèles d’homme ou de femme de foi autour d’elles sur lesquels s’appuyer.

Pourtant, on est bien d’accord sur une chose : que ce soit ton voisin, un membre de ta famille, ou cette prostituée que j’ai rencontré, tous ont besoin de Jésus. Tous ne le savent pas forcément, mais incontestablement, tous ont besoin de lui.

Alors si les vieilles méthodes ne fonctionnent plus, ce n’est pas parce qu’on est mauvais ! Simplement le monde a changé, les gens sont plus méfiants, il leur manque certains codes et grilles de lecture de la vie en général, et de leur vie en particulier.

Et pour qu’ils comprennent cela, bah ça prend du temps.

Il y a des choses qui doivent être faites, dans un certain ordre, et on ne peut juste pas se contenter de mettre la charrue avant les bœufs.

Qu’est-ce qui a changé ?

De quoi une personne doit-elle prendre conscience en premier lieu ?

Par quel processus, quelles étapes, aujourd’hui, une personne doit-elle passer avant de confier les clés à Jésus ?

C’est ce dont on parle ici jusqu’à demain soir, 23h59 >>

God bless,

Pascal

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La fin d’une ère…

Nous vivons en ce moment en Occident une période sans précédent dans l’histoire de la chrétienté.

Que ce soit en France métropolitaine, en Suisse, en Belgique, au Québec, nous assistons depuis le Siècle des Lumières, et particulièrement depuis les années 1960, au déclin de la chrétienté.

Ce système fondé sur le christianisme, et qui a forgé nos échelles de valeurs et nos systèmes moraux, est en train de disparaître.

Rationalisme et athéisme ont redessiné le visage de nos sociétés, de telle sorte que le message de l’Evangile peut apparaître aujourd’hui, pour nos contemporains non initiés, comme une référence passéiste ou poussiéreuse, liberticide et intolérante.

Pour les générations les plus jeunes qui n’ont pas été élevées par des parents ou des grand-parents ayant eu une éducation religieuse – catholique ou autre – la morale chrétienne peut être chargée d’une image lourdingue à laquelle ils n’auraient aucune raison de vouloir s’attacher.

Dès lors, une union d’église, une organisation spirituelle qui n’aurait pas fondamentalement revu son système depuis 50 ans n’a qu’une seule destination possible : la disparition.

Ce qui était adapté au monde occidental d’avant les années 60-70, est progressivement devenu désuet, anachronique, voire contre-productif.

Le message de l’Evangile ne dispose aujourd’hui pas des mêmes ancrages sociaux dont il bénéficiait à l’époque de nos grand-parents ou même de nos parents.

Pour autant, nous le savons, les gens cherchent Dieu !

Si on nous fait croire que l’athéisme est la nouvelle – ou la prochaine – norme, on voit bien que l’éventail des spiritualités proposées aujourd’hui est plus large que jamais. On en reviendrait même à l’époque pré-chrétienne, où cohabitaient les paganismes les plus variés.

Alors avec cette nouvelle réalité qui s’impose à nous, comment amener nos contemporains aujourd’hui, en 2022, à la rencontre du message de l’Evangile qui seul peut authentiquement, profondément et définitivement transformer leur existence ?

On te dit tout ici >>

God bless,

Pascal

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On se met le doigt dans l’œil !

“Il n’y a pas de bonne cuisine si au départ, elle n’est pas faite par amitié pour celui ou celle à qui elle est destinée.” Paul Bocuse

Paul Bocuse (1926-2018) est considéré comme l’un des plus grands chefs cuisiniers du XXème siècle.

Et en tant que tel, il avait compris que la qualité de sa cuisine ne commençait ni par les ingrédients, ni par les recettes, ni par les techniques, ni par les instruments.

Mais par la relation entre celui qui donne et celui qui reçoit.

D’ailleurs, dans son restaurant étoilé de Collonges-au-Mont-d’Or, près de Lyon, il a mis pendant des années un point d’honneur à accueillir personnellement les convives qui venaient déguster ses créations.

Ne devrait-il pas en être de même lorsqu’on parle de Christ à quelqu’un qui ne le connaît pas ?

Chaque fois que l’on a annoncé le message de Christ autrement que par amour, les bases étaient malsaines.

Si on prêche l’Evangile pour faire du chiffre, on se plante.

Si on parle de Dieu par esprit de revanche sur un passé difficile, ou pour dorer son blason de chrétien, ou pour gagner en crédibilité dans son église, on se met le doigt dans l’oeil.

Si on annonce Christ par esprit de domination culturelle, on est à côté de la plaque.

Si l’expansion de la foi chrétienne se fait dans un esprit de guerre civilisationnelle, alors on porte un message politique – et cela peut se défendre – mais ce n’est pas d’abord cela que Dieu attend de ses enfants.

A la base de toute chose, au commencement de l’annonce du message du salut, il y a d’abord l’amour du prochain.

Que ce prochain soit une personne que l’on connaît de longue date ou que l’on a rencontré il y a 5 minutes, ou même qu’on s’adresse à lui par les médias sans jamais l’avoir rencontré : l’amour doit être à la base de ce que l’on prêche.

L’amour pour celui ou celle à qui on adresse le message, c’est cela qui lui donnera du goût et fera de notre Évangile un Évangile incarné, qui prend place dans le monde réel au lieu d’en rester au stade des pensées philosophiques.

Un plat impeccable préparé sans amour sera toujours plus fade qu’un plat trop salé, trop petit ou trop cuit, préparé avec le cœur.

God bless,

Pascal

PS : Les élections, c’est dans 5 jours. Si tu es de nationalité française et que tu ne l’as pas encore fait, peux-tu prendre 1 minute chrono pour remplir ce questionnaire ? Il est anonyme, on ne recueille ni ton nom, ni ton e-mail. Merci pour ton aide.

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Aimer ces gens-là, c’est compliqué…

Aimer son prochain, sur le papier, c’est très bien.

J’adhère.

Mais dans la réalité, c’est parfois un vrai défi.

Vraiment.

Les personnes qui m’ont fait du mal, qui me blessent, qui sont ingrates ou qui ne me comprennent pas, c’est compliqué de les aimer.

Et pourtant, aimer son prochain n’est pas une option. C’est un commandement.

Heureusement, si Dieu nous commande d’aimer notre prochain, il nous donne aussi toute une palette de terrains d’exercice pour nous aider à le faire.

La personne qui est plus encline à aimer dans un cadre familial, a des modèles bibliques – comme Ruth – sur lesquels s’appuyer et prendre exemple.

Ceux qui se sentent plus à l’aise à mettre en action leur amour dans un cadre professionnel ont aussi des référents dans la Parole de Dieu qui montrent comment s’y prendre.

Ceux qui sont plus attirés par la fibre éducative ont évidemment des ressources pour cela. Il savent qu’un élève ou un enfant qui est aimé, sera un adulte plus épanoui qui saura donner à son tour et démultiplier l’impact de ce qu’il a reçu.

Certains expriment leur amour à travers l’accueil de l’étranger, à travers l’aide sociale pour les plus démunis, à travers la dimension écologique, à travers le pastorat, à travers la valorisation des arts ou de la culture, …

Il existe différentes manières d’exprimer notre amour du prochain, et toutes ces manières viennent façonner en nous un cœur aimant, plus proche du cœur de Dieu pour ses créatures.

Nos terrains de prédilection deviennent alors des terrains d’entraînement, où notre amour du prochain se développe, s’affine, s’approfondit. C’est là que nos cœurs deviennent plus malléables.

Dieu se sert de nos prédispositions, de nos attirances naturelles, pour nous travailler et accomplir son projet à travers nous.

Et toi ?

Vers quel domaine te sens-tu plus enclin(e) à exprimer ton amour du prochain ?

Quel goût tout spécial Dieu a placé en toi pour te permettre de faire rayonner l’amour qu’il t’a confié et qu’il te demande de répandre ?

Le SEL et ses partenaires ont réfléchi à cela, et ont créé un outil magnifique pour t’accompagner sur le terrain dans lequel Dieu t’a placé(e).

Découvre-le ici et rendez-vous en bas pour en télécharger un extrait >>

God bless,

Pascal

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Tout le monde ici est pieds nus

Cette histoire n’est pas de moi, et elle est probablement fictive.

Elle se passe il y a une centaine d’années.

Un directeur d’une entreprise de fabrication de chaussures européen envoie deux de ses commerciaux dans une contrée lointaine, pour prospecter et voir s’il y a des débouchées pour commercialiser ses chaussures sur ce territoire.

Après quelques jours, le directeur reçoit deux lettres.

Le premier commercial lui écrit : “Pas de marché. Tout le monde ici est pieds nus, personne ne veut de chaussures.”

Le deuxième, lui, écrit : “Le marché est énorme ! Tout le monde ici est pieds nus, personne ne vend de chaussures !”

Une réalité, deux perceptions.

Crois-tu que tout se soit toujours déroulé de la meilleure façon pour ceux qui ont accompli de grandes choses ?

Jamais de la vie ! Il leur a fallu persévérer, redoubler d’efforts. Pour convaincre des gens qui ne connaissaient pas les chaussures, il a fallu les sensibiliser, leur montrer les avantages qu’ils avaient à en porter, ce que ça leur permettrait de faire qu’ils ne faisaient pas avant. Il a fallu les informer, créer des modèles adaptés à leurs besoins et à leurs goûts, mettre en place des points de distribution.

Rien ne s’est fait simplement !

Mais le désert a été vu comme un lieu d’opportunités.

Parfois, j’ai l’impression qu’on se lasse facilement pour vivre et partager les valeurs de l’Evangile.

“Oui, tu sais, autour de moi, les gens ne croient pas. Ils ont leur vie, ils ont leurs problèmes. L’Evangile, ça ne les intéressera pas.”

Mais l’Evangile, ça révolutionne des vies !

Évoluer dans un terrain d’indifférence, c’est une opportunité extraordinaire pour être un modèle de ce message qui ne peut laisser personne indifférent !

A chacun de choisir et d’assumer. Et de ne surtout pas prendre l’indifférence des uns comme prétexte à l’inaction des autres.

God bless,

Pascal


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Était-ce un chat à mini-pattes ?

C’était un dimanche, vers 13h. Je rentrais du culte.

Arrivé au bout de ma rue, je vois un animal peu commun qui marche précipitamment le long d’un mur.

Une belette ? Un écureuil ? Un chat à mini-pattes ?

Je m’arrête.

C’est un furet. Il a l’air blessé.

Je pose ma veste sur lui et l’attrape.

Il présente des traces de morsures similaires sur les deux côtés, il a peut-être été attrapé par un chien.

Arrivé à la maison, je lui trouve une cage.

Et le lendemain, je me mets en quête de retrouver son propriétaire.

Un furet, dans une zone d’habitations, c’est forcément un animal de compagnie qui s’est égaré.

Je me dis qu’avec un peu de chance, son propriétaire aurait d’autres animaux et il se pourrait qu’il fréquente les animaleries pour acheter de la nourriture et du matériel.

J’entreprends donc de laisser une petite affichette sur le comptoir des animaleries du coin : “Trouvé furet, contacter tel numéro”.

Je vais dans une première animalerie, je m’adresse au vendeur :

– Bonjour, j’ai trouvé un furet dans ma rue. Est-ce que je pourrais laisser une petite affichette pour le signaler, peut-être que son propriétaire se manifestera ?
– Désolé monsieur, on ne peut pas laisser d’annonce.

Je vais dans une deuxième animalerie :
– Bonjour, j’ai trouvé un furet dans ma…

Le jeune vendeur me regarde avec de grands yeux éberlués et m’interrompt :
– Vous… vous avez trouvé mon furet ?? Je le cherche partout depuis une semaine !

Il m’en fait la description, tout concorde. C’était le furet personnel du vendeur, qui s’était échappé de sa maison.

J’habite dans un bassin de 120.000 habitants. Et pourtant, malgré les 5 km de distance entre notre deux logements, la deuxième personne à qui je m’étais adressée était la bonne.

Ce que ça m’inspire ? 3 choses :

1 – Parfois, la solution à tes recherches se trouve beaucoup plus près que tu l’imagines.
2 – Pour qu’une tâche apparemment impossible puisse aboutir, une bonne idée pourrait être de commencer par lui donner une chance d’aboutir. Sans abandonner au premier échec. Comme l’incroyable aventure racontée dans ce film.
3 – Il n’y a rien de plus beau que la joie de celui qui a retrouvé ce qu’il croyait perdu à tout jamais.

 Luc 15 : 3-7

“Si l’un de vous a cent brebis et en perd une, ne laisse-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? Quand il l’a retrouvée, tout joyeux, il la prend sur ses épaules, et, de retour chez lui, il réunit ses amis et ses voisins : il leur dit : ’Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue !’ Je vous le dis : C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion.”

God bless,

Pascal

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Soyez des buses !

L’ami des bêtes que je suis souffre de t’écrire aujourd’hui. Nous allons parler de la façon dont la mortalité animale routière peut nous enseigner.

A peu près chaque fois que je prends la route, des moucherons viennent se coller sur mon pare-brise. Ils sont parfois très nombreux. Leur impact sur mon pare-brise n’a quasiment aucun effet.

L’année dernière, je roulais en fourgon avec Anneline et Karine, quand une buse est arrivée et a pulvérisé le pare-brise. Dans un bruit d’explosion, alors qu’on roulait à 130, le pare-brise s’est retrouvé en miettes. On a fait appel à une dépanneuse pour sortir de l’autoroute. Aucun dégât autre que le pare-brise.

L’impact de la buse a été puissant. Il a vraiment changé nos plans. Nos projets, notre planning a dû être complètement revu.  On a fait changer le pare-brise pour le remplacer par un tout beau, tout neuf.

Troisième situation, qui, par bonheur, ne m’est pas arrivé jusqu’à aujourd’hui : tu peux te faire emboutir par un sanglier. Là, c’est une autre histoire : tu envoies ta voiture à la casse.

Comment envisages-tu d’impacter la vie des gens ?

  • Tu veux avoir l’impact du moucheron, dégagé d’un coup d’essuie-glace ?
  • Ou celui du sanglier, qui fracasse et détruit leur vie ?
  • Ou celui de la buse, qui les fait changer leurs projets et repartir avec une vision toute neuve ?

En hommage à ce valeureux volatile qui a sacrifié sa vie pour nous inspirer aujourd’hui : pour une fois, sois une buse !

God bless,

Pascal

PS : Magie du jeu, devine vers quel article renvoie le lien d’aujourd’hui ?

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Elles sont tombées de ses yeux !

C’est arrivé il y a 3 jours.

Un de mes amis m’appelle.

“Pascal, ça y est, je ne vais plus t’embêter très souvent !”

Bon, d’une, il ne m’embêtait pas.

Mais surtout, il avait comme découvert le graal.

Depuis des années, il était empêtré dans des soucis pour lesquels il ne voyait pas d’issue. Il pensait n’avoir le choix qu’entre de mauvaises solutions, dont aucune ne semblait vraiment moins mauvaise que l’autre. Et le status quo le rongeait de l’intérieur.

“C’était là, devant mes yeux, et je le voyais pas !”. L’exaltation d’un sentiment de liberté retrouvée !

Alors je lui ai demandé : “Tu as remarqué à quel point les choses sont allé vite depuis que tu marches avec Dieu ? Depuis que tu as renoué ta relation avec lui ?”

“Bah oui, c’est comme si des écailles étaient tombées de mes yeux. J’ai prié et les choses se sont révélées, comme une évidence !”

Voilà. C’est là que ça se passe.

Dans l’intimité avec Dieu.

Si tu alimentes ta relation avec lui, il va te le rendre ! Bien plus que tu ne l’imaginais.

Alors aujourd’hui, j’ai un cadeau à t’offrir. Je me suis entretenu avec un autre ami cette semaine, Romain Lagache. En fait, je ne le connaissais jusque là que par personne interposée.

Romain dirige un ministère nommé Jésus Identité. Il veut inviter les chrétiens à aller plus en profondeur dans leur intimité avec Jésus.

Alors quand il m’a dit qu’il voulait offrir un e-book, j’ai regardé ce que c’était (pour pas te mettre n’importe quoi sous les yeux). Et j’ai dit OK.

Ce sont 12 témoignages inspirants, qui vont te donner envie d’avancer davantage avec Jésus.

C’est cadeau, tu as juste à cliquer sur “télécharger”.

Lis-le et envoie le lien à tes amis : ça leur fera du bien.

Et je serai tellement heureux de voir que toi, eux, puissiez dire aussi “C’est comme si des écailles étaient tombées de mes yeux.”

God bless,

Pascal

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25 ans après, je me rappelle très bien du message…

Prends un ballon de baudruche.

Gonfle-le. Approche une allumette. Pas de surprise : le ballon éclate.

Renouvelle l’expérience, mais remplis cette fois le ballon avec de l’eau. Approche l’allumette. Le ballon n’éclate pas.

Lorsque l’ado que j’étais a vu cette expérience, j’étais fas-ci-né !

Et là, l’animateur de l’expérience te dit que le ballon, c’est toi ; l’eau, c’est Christ ; le feu, c’est l’épreuve. Pas besoin de tourner autour du pot :

25 ans après, je me rappelle très bien du message.

C’est le même process (en un peu moins fun) qui est à l’oeuvre quand on me montre une courbe de croissance, un diagramme, un diaporama. J’intègre dix fois mieux que quand j’écoute une conférence sans aide visuelle.

Ca ne correspond peut-être pas à tout le monde. Mais je fais partie de ceux qui sont assez sensibles au visuel.

Il existe plein de circonstances pour transmettre l’Evangile,

ou, du moins, quelque chose de l’Evangile. En famille, avec des amis, au cours d’un culte ou d’une messe, il y a toujours des publics pour qui le visuel est essentiel pour stimuler la compréhension.

Quand je veux transmettre quelque chose à mes enfants, et que je le fais avec un papier et un crayon, clairement, ça passe plus facilement.

Je t’encourage à rivaliser d’ingéniosité, d’audace et d’innovation

pour transmettre ce que tu as à coeur de manière pertinente et percutante.

Et si tu avais besoin d’aide pour cela, regarde par ici, le travail est déjà tout fait.

Je te souhaite de belles expériences et de beaux partages !

God bless,

Pascal

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