Elle absorbe tout sur son passage !

Je suis tombé l’autre jour sur la citation suivante :

“Si je ne prends pas du temps pour ma santé, je serai forcé de prendre du temps pour ma maladie.”

Est-il vraiment utile d’illustrer davantage ?

Toutes les personnes passées par l’épreuve de la maladie peuvent témoigner à quel point celle-ci leur a ouvert les yeux sur la valeur de la bonne santé qu’elles avaient et qu’elles n’ont plus.

Quand frappe la maladie, elle absorbe tout sur son passage : ton temps, ton attention, ton bien-être, tes loisirs, tes déplacements, tout.

Et on se dit alors : “si j’avais su, j’aurais fait ceci différemment, j’aurais pas fait cela, je me serais fait dépister, j’aurais pris du temps pour ça…”

En ne le faisant pas quand on est en bonne santé, on joue à conjurer le sort, on compte sur notre bonne étoile… Et puis un jour, la lumière de la bonne étoile faiblit et on est pris par surprise…

Ce qui est vrai pour la santé physique ne l’est pas moins pour la santé spirituelle.

On néglige sa vie spirituelle en se disant que “oh bah jusqu’ici tout va plutôt bien, j’ai pas vraiment de raison de prendre du temps pour ça…”

Et puis le jour où frappe l’épreuve, dans le meilleur des cas, on se tourne vers Jésus.

Pas de problème, Jésus nous accueillera toujours à bras ouverts, tout comme les médecins sont toujours là pour nous soigner.

Mais ne gagnerait-on pas à vivre avec Jésus avant l’épreuve ? Faire équipe avec lui quand tout va bien n’est pas l’assurance que toute notre vie sera rose, loin de là.

Mais d’une part, la proximité avec lui peut nous faire éviter de prendre des routes hasardeuses, d’aller sur des décisions perdues d’avance.

Et d’autre part, la marche avec Jésus donne la certitude que, quand survient l’épreuve, nous avons un appui sûr, connu, rassurant sur lequel nous reposer.

Que tu le veuilles ou non, l’épreuve surviendra.

Mais avec Jésus, tu gagnes à tous les coups !

Ça vaut quand même la peine de prendre soin de sa santé spirituelle le plus tôt possible, non ?

God bless,

Pascal

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Un accident à l’âge de 17 ans

Le sujet du handicap crée souvent chez les personnes valides une situation un peu ambivalente.

Quelque part, les personnes porteuses d’un handicap dérangent.

Elles obligent les valides à ralentir leur rythme. Elles nous mettent face à une réalité qui peut tous nous atteindre.

Elles peuvent conduire certains à ne pas trop savoir comment réagir : faut-il considérer les personnes concernées comme des victimes, ou au contraire faut-il faire comme si le handicap n’existait pas ? Faut-il leur parler de tout sauf de leur handicap, ou est-ce un manque de compassion que de ne pas en faire un sujet de discussion ?

Le handicap invite chacun, valide ou non, à repenser son rapport à soi-même, à l’autre, à ses priorités.

Cette ambivalence, on la retrouve aussi lorsque des personnes handicapées accomplissent des choses extraordinaires. Il n’y a qu’à voir le faible intérêt suscité par les Jeux Paralympiques par rapport aux Jeux Olympiques “classiques” pour nous en convaincre.

Nous sommes prompts à chanter les louanges de ceux qui, atteints d’un handicap, parviennent à se surpasser pour accomplir des réalisations grandioses. Mais beaucoup ont encore tant de mal, spontanément, à aller vers ces personnes et à naturellement s’intéresser à elles.

Leur témoignage est pourtant bien souvent une source puissante d’inspiration pour tous.

Celui de Joni Eareckson Tada en est un exemple parfait.

Devenue tetraplégique suite à un accident de plongée à l’âge de 17 ans, elle a appris à écrire et à peindre avec la bouche, et est l’auteur de près de 50 livres. Son ministère d’envergure internationale a permis de toucher et d’améliorer la vie de dizaines de milliers de personnes dans le monde.

Dans les difficultés du quotidien, elle témoigne de la présence et de la bonté de Dieu jour après jour. Quand d’autres auraient tendance à baisser les bras, elle rappelle que Dieu est un Dieu fidèle, qui agit encore, y compris au travers de nos faiblesses et de ce que nous ne pouvons pas faire.

Son témoignage de vie est inspirant, il est présenté ici en 3ème position jusqu’à ce soir, 23h59 >>

God bless,

Pascal

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Éloge d’une aberration diététique

J’en suis fou.

Je suis absolument dingue du lait concentré sucré. Depuis mon enfance, ce goût et cette texture m’ont toujours plu. J’ai élaboré des stratégies pour en tirer le meilleur parti.

Pour qu’il soit bon, il faut qu’il ait passé au minimum 5 heures au frigo. Et pour être encore meilleur, le fin du fin, c’est de mettre le pot au moins deux heures au congélateur. Quand tu le sors, il est parfait. Il reste crémeux parce qu’il n’arrive pas à durcir, il ne coule pas quand tu y plonges la cuillère.

Voir le pot me met des étoiles dans les yeux et de la mauvaise graisse le ventre. Je n’ose même pas te dire l’espérance de vie moyenne d’un pot d’1 kg dans ma cuisine.

Un pur délice.

Et toi, qu’est-ce qui te rend fou/folle comme ça ? Quel est le truc qui te fait frétiller les narines rien qu’en y pensant ? Le chocolat ? Ton chat ? Le jardinage ? Une partie de tennis ? La visite des petits-enfants ? La tarte au maroilles ? Les feux de l’amour ?

Le psaume 37 nous demande “Fais de l’Eternel tes délices”. Est-ce que la perspective de passer du temps avec Dieu te fait frissonner plus que le lait concentré ou la tarte aux quetsches de ta grand-mère ?

Question de priorités ! Qu’as-tu décidé de placer au premier rang ?

Dans la vidéo qui suit, j’ai sélectionné un extrait de film qui montre l’importance de décider de ce qu’on met à la première place.

C’est concret.

C’est valable pour toi.

Et ça peut transformer littéralement ta vie et celle des gens autour. (Et en plus, ça fait pas grossir).

Jette un oeil ici, l’extrait figure dans la vidéo.

God bless,

Pascal

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Elle est en train de changer le monde

Tu le constates aussi ?

Ce monde se cherche. La crise du coronavirus est en train de rebattre les cartes du jeu mondial. Nos repères sont en train d’être bousculés, et on n’a sans doute encore rien vu. Les équilibres d’hier ne seront plus, et on ne voit pour l’instant pas bien clair sur où tout ça va nous mener.

Sans dire que cela est une conséquence, ce cheminement va en tout cas dans le droit fil de ce que nous vivons ces dernières décennies dans les pays occidentaux : la dislocation des repères, de ce sur quoi chacun pouvait s’appuyer comme bases fiables.

On brouille les cartes ici.

Un petit tour de passe-passe par là.

Et hop, ni vu ni connu, je t’embrouille. On trouble les repères. On nomme “construction sociale” les lois naturelles. On réinvente des définitions pour changer le sens des mots. On détricote les repères structurants.

Et on crée des individus en sempiternelle quête identitaire.

Sombre tableau ? Réaliste ? Catastrophiste ?

Tu ne sais toi-même plus où sont les repères ? Où est la structure ? Qui croire ? Quoi croire ?

La Bible donne des clés de lecture du monde, de la société, et de toi-même, qui sont toujours valables aujourd’hui (et même plus que jamais !). Je t’ai préparé pour ça  une petite vidéo dont tu me diras des nouvelles.

Une manière de remettre de l’ordre dans tout ce marasme. De retrouver les valeurs fermes sur lesquelles s’appuyer. De poser des fondations solides.

Ca se passe ici. Et ça permet d’y voir beaucoup plus clair… A tout de suite.

God bless,

Pascal

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